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Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Ozomahtli, le singe du calendrier aztèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/540b5b8c-ozomahtli-le-singe-du-calendrier-azteque

Ozomahtli, le singe du calendrier aztèque

Glyphe Ozomahtli (singe) du calendrier aztèque.

Pégase. Source : http://data.abuledu.org/URI/50709b7a-pegase

Pégase

Silhouette de Pégase ailé et ruant.

Sculpture en bois au Zimbabwe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d2c83b-sculpture-en-bois-au-zimbabwe

Sculpture en bois au Zimbabwe

Sculpture en bois tonga représentant une figure mythique, le Nyaminyami, dieu du fleuve Zambèze à corps de serpent et tête de poisson.

Silène ivre sur son âne. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f3bb2-silene-ivre-sur-son-ane

Silène ivre sur son âne

Mosaïque romaine (Musée de Naples) de la maison de Paquius Proculus (I, 7, 1) à Pompéi représentant Silène comme un gros vieillard ivre sur son âne retenu par deux personnages (oreilles, queue). Pour qualifier son Gargantua, Rabelais utilise dans son prologue l'image de la boîte de Silène.

Statues d'Inaba et Okuninushi à Tottori. Source : http://data.abuledu.org/URI/556f67e1-statues-d-inaba-et-okuninushi-a-tottori

Statues d'Inaba et Okuninushi à Tottori

Statues du lièvre d'Inaba et du dieu Ōkuninushi vus de dos, à Tottori au Japon.

Tablette cunéiforme du Déluge. Source : http://data.abuledu.org/URI/545def63-tablette-cuneiforme-du-deluge

Tablette cunéiforme du Déluge

Tablette cunéiforme du Déluge, onzième tablette de l'épopée de Gilgamesh : Utnapishtim a eu le temps de bâtir une arche, comme Noé et de préserver les animaux. Après le déluge, il envoie des oiseaux à la recherche de terres habitables ; British Museum.

Tête de Makara en Chine. Source : http://data.abuledu.org/URI/56ca2df3-tete-de-makara-en-chine

Tête de Makara en Chine

Tête de Makara en Chine, 550-577.

Thésée et le Minotaure. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ee3179-thesee-et-le-minotaure

Thésée et le Minotaure

Statue en bronze "Thésée tuant le Minotaure, 1843, par Antoine-Louis Barye (1795-1875).

Totchli le lapin du calendrier aztèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/540b5a25-totchli-le-lapin-du-calendrier-azteque

Totchli le lapin du calendrier aztèque

Glyphe Tochtli (lapin) dans le calendrier aztèque;

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.